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RADIO vergine keaton

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• FRANCE CULTURE - Aude Lavigne - 2019 // FR

écouter l'émission Buster Keaton au féminin

https://www.franceculture.fr/emissions/les-carnets-de-la-creation/buster-keaton-au-feminin

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TEXTEergine keaton

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• LES ATELIERS MEDICIS - entretien  - avril 2019 // FR

A propos de l'écriture du long métrage BATAILLE

" (...) Je veux que le film soit une longue bataille d’une heure, qu’il n’y ait rien d’autre, mais que cela devienne le portrait des hommes. Je pense à des allégories que j’aime beaucoup comme celle de Lorenzetti sur les effets du Bon et du Mauvais gouvernement, que Patrick Boucheron décrit dans l’avant-propos de Conjurer la Peur. La fresque figure à la fois de manière générale et synthétique les caractères du bon et du mauvais gouvernement, mais ce qui nous intéresse et nous émeut le plus, ce sont des détails, comme celui de deux corps rapprochés dont les mains sont posées l’une sur l’autre. Je veux montrer la grande bataille tout en permettant d’accéder sans arrêt au détail.."

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PRESSE vergine keaton

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• TELERAMA - Sophie Bourdais - 12/09/2019 // FR

A propos de l'exposition Opéra Monde / Vous qui entrez ici

" (...) Sans oublier les premiers effets spéciaux avec lanterne magique, des installations vidéo mythiques, telle celle réalisée par Bill Viola pour le Tristan et Isolde de Wagner monté par Peter Sellars. D’autres installations ont spécialement été créées pour l’exposition — comme l’inquiétant triptyque animé de la réalisatrice Vergine Keaton."

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• BREF - Sébastien Ronceray - 2019 // FR

A propos du Tigre de Tasmanie

" (...) Ce film nous plonge dans les abysses primitifs de notre rapport au monde (convoquant aussi un cosmos d’où tout peut jaillir) : cette tectonique des images, à la fois instable, fluide et organique, aiguise notre attention aux moindres évènements graphiques du film. La technique de création d’images (détourage, collage de fragments, animation légèrement saccadée, dérèglements des vitesses creusant la profondeur des matières) invente une forme de phénoménologie de la dissolution. Elle ouvre un territoire dans notre mémoire en recréant un Tigre de Tasmanie recomposé puis démultiplié (par superposition du même). En concluant son film sur une danse animale, Vergine Keaton nous amène hors du cauchemar qu’est notre contemporanéité à la disparition de ce qui devrait être éternel, et compose une réanimation d’un être disparu, dont la nature puissante et vitale permet de se relever et de danser encore. "

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• TELERAMA - Anne Dessuant - 2019 // FR

A propos du Tigre de Tasmanie

" (...) Le film est une invitation à la rêverie, même si les images et la bande son peuvent être brutales. Les repères deviennent flous, l’expérience cinématographique se rapproche de la transe. Diabolique !"

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• Ecran Noir - Marie-Pauline Mollaret - 2018 // FR

A propos du Tigre de Tasmanie

" (...) (...) Mais ce qui devrait rester comme le plus beau film francais présenté à Berlin cette année, on l’a déjà vu, c’est le Tigre de Tasmanie de Vergine Keaton. (...) On est à la fois bouleversé et sidéré par l’absolue beauté de la nature en action, qui deconstruit tout sur son passage avant de recombiner ses différents éléments en une autre forme de paysage (...)"

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• BREF MAGAZINE - Donald James - 2010 // FR

A propos du Festival de Cannes - programme ACID

(english below)

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« (...) Mais la perle rare de cette édition 2009 était Je criais contre la vie. ou pour elle de Vergine Keaton. Neuf minutes de poésie visuelle, de folie brute, hypnotique. (...)

Dans son développement, l’animation de Vergine Keaton refuse toute naturelle fluidité, et les traits imitent ceux de scènes de chasse des gravures rurales du XIXème. (...) L’époustouflant Je criais contre la vie… n’est pas un film mais un chant, une psaulmodie rendant hommage aux détournements et un hymne à la révolte contre l’image qui nous encourage à vivre comme des esclaves.»

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«(...) But the film of this 2009 edition was I was crying out for life. or for it from Vergine Keaton. Nine minutes of visual poetry, raw madness, hypnotic.»

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